Depuis quelques années, le nombre de femmes enceintes qui se rendent en Afrique pour un avortement clandestin augmente de façon alarmante. En effet, on compte actuellement jusqu’à 250.000 cas d’avortement clandestin en Afrique. La majorité des avortements se font dans les pays africains du Sud, dans des conditions sanitaires et sociales désastreuses. Ces avortements sont souvent pratiqués par des médecins peu formés et peu équipés dans la mesure où les centres de santé sont souvent inexistants. Dans la région du Sahel, le nombre des avortements clandestins est estimé entre 100.000 et 200.000 par an. En 2017, environ 300.000 femmes en ont subi au moins un dans la sous-région. Selon le rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la fécondité dans le monde, 98 % des avortements sont pratiqués par des médecins peu ou pas formés et incompétents.
Les raisons de la hausse des avortements clandestins en Afrique sont nombreuses. En effet, les femmes sont exposées à des conditions de vie désastreuses dans ces pays. Ainsi, elles n’ont pas le droit de travailler et le système de santé ne fonctionne pas correctement, ce qui pousse les femmes à recourir à l’avortement clandestin. C’est ainsi que le taux de mortalité infantile est très élevé en Afrique. En plus, l’accès à l’avortement clandestin est facile, ce qui facilite grandement la pratique de l’avortement.
Le phénomène a été analysé par le Dr Rachel Okoro, du centre des femmes de Yaoundé qui a mené une étude sur les causes de l’avortement, les pratiques et les conséquences de l’avortement dans la ville de Yaoundé au Cameroun. Elle a constaté que l’avortement, s’il est pratiqué de façon clandestine, a de nombreuses conséquences sur la santé des femmes qui le subissent. Ces dernières sont confrontées aux grossesses non désirées et à une mortalité infantile très élevée. L’avortement clandestin provoque des infections de la peau comme la syphilis, l’hépatite B, la gonorrhée, la trichomonase, la syphilis et la syphilis à transmission sexuelle. La mère et l’enfant ne sont pas protégés car les complications sont très graves et la femme enceinte peut contaminer l’enfant à naître. C’est pourquoi il est très dangereux de s’infiltrer dans un avortement clandestin car cela peut entraîner de graves complications, voire la mort de la mère et de l’enfant. De même, les femmes qui ont subi un avortement clandestin sont à risque de nombreuses maladies comme la syphilis, l’hépatite B, la syphilis et la syphilis à transmission sexuelle. De même, les femmes qui ont eu un avortement clandestin courent le risque de contracter le VIH/SIDA.
De plus, l’avortement, s’il est pratiqué de façon clandestine, est synonyme de travail forcé et expose les femmes à de multiples violences sexuelles et à d’autres formes de discrimination. Cela est souvent la cause du suicide des femmes enceintes qui souffrent de la violence sexuelle. Les grossesses non désirées sont également un facteur important dans le nombre des avortements clandestins. En effet, de nombreuses femmes enceintes se retrouvent dans une situation de grossesse non désirée car elles n’ont pas le droit de travailler, de faire des enfants ou de rester avec leurs enfants dans les villages. Dans ces situations, la femme enceinte se suicide.
Les causes de la hausse des avortements clandestins sont nombreuses. En effet, en Afrique, les femmes ont recours aux avortements clandestins pour diverses raisons. D’abord, les avortements clandestins sont fréquents car les femmes n’ont pas les moyens de payer les soins de santé pour éviter cette procédure. En plus, les femmes ne veulent pas subir des complications médicales comme les infections de la peau ou les infections sexuellement transmissibles. Enfin, les avortements clandestins sont pratiqués par les femmes les plus démunies et les plus vulnérables en raison du manque de services de santé.
Ainsi, on constate que le nombre des avortements clandestins dans les pays africains augmente de façon alarmante, surtout en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale. Il est donc urgent que les gouvernements africains prennent des mesures concrètes pour lutter contre ces avortements clandestins.
L’avortement clandestin : une question de santé
De plus, il est important de souligner que l’avortement clandestin est une question de santé. L’avortement non sécurisé augmente le taux de mortalité maternelle et infantile dans les pays africains et constitue un risque majeur de décès et d’invalidité des femmes enceintes. Les avortements clandestins ont des conséquences graves sur la santé physique et mentale des femmes enceintes et sur celle de leurs enfants. L’OMS a classé les avortements clandestins parmi les principales causes de mortalité maternelle.
En outre, l’avortement clandestin augmente également les taux de mortalité maternelle et infantile dans les pays africains, car les femmes enceintes souffrent de complications médicales graves telles que le syndrome du bébé secoué, la rupture de la poche des eaux ou la mort subite du nourrisson.
La grossesse non désirée est une préoccupation majeure pour de nombreuses femmes en Afrique. En effet, elles sont souvent contraintes de se soumettre à l’avortement clandestin. C’est pourquoi il est très important que les gouvernements africains prennent des mesures concrètes pour lutter contre les avortements clandestins. Ces mesures doivent comprendre la mise en place de centres de santé et de services de santé en cas d’avortement clandestin.
Les mesures de lutte contre les avortements clandestins
Dans la plupart des pays africains, il n’existe pas de centres de santé pour effectuer des avortements clandestins. Les femmes enceintes doivent donc se rendre dans des cliniques privées pour pratiquer cet avortement. Il est donc nécessaire que les gouvernements africains prennent des mesures pour lutter contre ces avortements clandestins. Il faut que les femmes enceintes aient les moyens de payer les services de santé et que les services de santé soient facilement accessibles. De même, il est nécessaire que les femmes enceintes aient accès à des soins de santé de qualité et que les services de santé soient facilement accessibles.
De plus, il faut que les femmes enceintes aient les moyens de se rendre dans des centres de santé et de services de santé en cas d’avortement clandestin. Les femmes enceintes doivent avoir accès à des services de santé de qualité et que les services de santé soient facilement accessibles.
Les femmes enceintes doivent avoir accès à des soins de santé de qualité et que les services de santé soient facilement accessibles.
En outre, il faut que les femmes enceintes aient les moyens de se rendre dans des centres de santé et de services de santé en cas d’avortement clandestin.
En conclusion, il est urgent que les gouvernements africains prennent des mesures concrètes pour lutter contre les avortements clandestins.
En outre, les femmes enceintes doivent avoir accès à des services de santé de qualité et que les services de santé soient facilement accessibles.